PROPRIETES

Protocole de Breitling Replica récupération du courrier.

Version 3 de POP.

Le plus répandu.

Décrit de manière Omega Replica Watches UK  détaillée dans la RFC 1939.

Comme il a été dit SMTP ne s’intéresse qu’au transfert des messages et fonctionne bien à la condition que le destinataire soit connecté à Internet. En cas d’échec, les courriers ne sont pas transmis. C’est pourquoi, de manière panerai Replica générale, le transfert de courriers se fait en deux phases et met en jeu plusieurs protocoles. SMTP est exécuté sur des ordinateurs toujours connectés à Internet qui servent de relai à l’échange de courriers entre les ordinateurs destinataires. Un autre protocole sera exécuté pour l’acheminement du courrier vers l’ordinateur de l’utilisateur final. Deux  protocoles prennent en charge cette dernière fonction : POP3 et IMAP4 qui sera vu dans un autre chapître.

MODE OPERATOIRE

1. Le client POP3 érablit une connexion TCT vers le serveur POP3 où sont stockées les boites à lettres.
2. L’utilisateur s’authentifie par un nom d’utilisateur (login) et mot de passe.
3. Une fois l’identification validée, le client POP3  commande le retrait des messages de la boite aux lettres.
4. Le serveur transfère les messages au client sous forme de fichiers texte au format standard.

ropriétés

Simple Message Transfert Protocol

Protocole d’échange de messages rolex replica uk entre ordinateurs. Fonctionne en mode connecté. Utilise par défaut le port 25.

S’intéresse au transfert des rolex Replica messages envoyés par un client à un serveur.

Décrit de manière détaillée dans la RFC 2821.

Les échanges entre le client et omega replica watches  le serveur se font sous forme de texte.

De plus,SMTP permet au serveur d’informer le client d’un changement d’adresse de l’utilisateur et permet aussi de re-diriger le client vers la nouvelle adresse.

En revanche, SMTP ne gère pas les erreurs de diffusion du courrier, c’est au client de décider s’il interrompt l’échange ou bien s’il le poursuit en signalant les erreurs. En général, les erreurs sont signalées à l’émetteur par le courreir électronique.

MODE OPERATOIRE

1. Le client établit  la connexion
2. Dès qu’il est prêt, le serveur répond : 220 READY FOR MAIL (prêt pour l’échange de mail)
3. Le client répond : EHLO.
4. Le serveur se présente.
5. La communication est établie.
6. Le client peut alors envoyer ou recevoir des messages ou bien fermer la connexion.

Chaque message reçu doit être acquitté.

LES COMMANDES SMTP D’UN ECHANGE DE COURRIER

• MAIL FROM : identifie l’expéditeur du message et donne l’adresse où seront envoyées les erreurs.

Illustration : MAIL FROM DD@free.fr

• 250 OK  : le destinataire répond à la commande MAIL que tout va bien.
• RCPT TO : identifie le destinataire du courrier.

Illustration : RCPT TO marie@free.fr

La commande RCPT vient après une émission réussie de la commande  MAIL réussie. L’expéditeur du message peut envoyer plusieurs RCPT par courrier.

Pour chaque commande RCPT envoyée, le destinataire doit accuser réception en répondant 250 OK (utilisateur connu) ou bien 550 No such user here (utilisateur inconnu).

Après réception de tous les accusés,

• DATA  : l’expéditeur indique au destinataire qu’il est prêt à transmettre le message. Le destinataire répond par un 354 Start mail input (début de la réception du message) et précise la séquence de caractères à utiliser pour signaler la fin des messages.
• L’échange se termine avec la séquence suivante : CR (retour chariot), LF (saut de ligne), . (point), CR et LF
• QUIT : ferme la communication.

Configuration de base

Tous les fichiers de config replica watches UK apache sont dans /etc/apache2/

apache2.conf  : fichier de config best replica watches principal (A NE PAS MODIFIER) inclut / appelle tous les autres. Il definit  notamment les logs de base, la sécurité de base des répertoires cheap replica rolex watches par défaut

Hiérarchie des fichiers de config

# /etc/apache2/
# |-- apache2.conf
# | `-- ports.conf
# |-- mods-enabled
# | |-- *.load
# | `-- *.conf
# |-- conf-enabled
# | `-- *.conf
# `-- sites-enabled
# `-- *.conf

ports.conf est tjs inclus dans le fichier principal et liste les ports d’écoute potentiels
les fichiers de configurations des directories:
mods-enabled gère les modules
conf-enabled gère la conf générale
sites-enabled gère la conf des virtual hosts.

Les fichiers de config utilisés sont ACTIVéS ou PAS , via des liens dans les répertoires    *-enabled

• sites-available contient les fichiers de configuration des sites disponibles
• sites-enabled contient des liens symboliques vers les configurations, dans site-available, des sites activés

• conf-available contient les fichiers de configuration des autres services disponibles
• conf-enabled contient des liens symboliques vers les configurations, dans conf-available, des autres services activés

• mods-available contient les fichiers de configuration des modules d’Apache disponibles
• mods-enabled contient des liens symboliques vers les configurations, dans mods-available, des modules activés

Les diverses configurations sont activées (a2en pour Apache 2 enable) ou désactivées (a2dis pour Apache 2 disable) avec les commandes suivantes :

sudo a2ensite [configuration d'un site / virtual host à activer]
sudo a2dissite [configuration d'un site à désactiver]

sudo a2enconf [configuration d'un service à activer]
sudo a2disconf [configuration d'un service à désactiver]

sudo a2enmod [configuration d'un module à activer]
sudo a2dismod [configuration d'un module à désactiver]

Cela crée ou supprime les liens symboliques correspondants dans les répertoires xxx-enabled.
Apache prendra alors en compte, ou pas, les fichiers de configuration concernés

NE PAS OUBLIER DE RECHARGER LES PARAMETRES apres une modification d’un ficheir de config (voire de vider le cache du navigateur)

sudo systemctl reload apache2

Démarche

Chaque fois que vous allez mettre en place un site vous allez concretement lui associer un serveur web virtuel (VIRTUAL HOST ou VH) et donc configurer spécifiquement Apache pour ce VH.

Ne pas modifier apache2.conf ou httpd.conf

éventuellement si on veut faire simple: copier  le sites-available/000-default.conf en sites-available/000-default.conf.bak et modifier l’original (sans activation particulière)

Idéalement ne pas toucher sites-available/000-default.conf

• créer un fichier de conf specifique pour votre VH  …/sites-available/vh1.conf
• invalider la conf par défaut: $ sudo a2dissite 000-default.conf
• activer votre configuration spécifique: $ sudo a2ensite vh1.conf

prise en main

• Vérifier qu’un apache tourne (systemctl ou apache ctl)
• verifier ports d’écoute: netstat -tlpn |grep LISTEN
• rechercher le apache2.conf et vérifier la hiérarchie des fichiers de configuration en son sein.
• trouver quel est le répertoire racine du site/virtual host par défaut et quels sont les répertoires autorisés sur le filesystem du serveur
• Vérifier les port d’écoute potentiels par défaut (porst.conf)
• Tester un http://localhost. Interpréter le résultat

EXO: Installation et test minimal d’un srv APACHE avec Wamp Bitnami pour Windows

1. Installer un serveur HTTP: bitnami WAMP , à télécharger sur Internet (installer seulement Apache, mysql et PhpMyAdmin sans les frameworks de demo)
2. vérifier que les service correspondants a Apache et Mysql sont démarrés. Cherchez un executable dans un répertoire ‘bin’ de l’instal qui permet de gerer le serveur apache (l’équivallent de la commande standard apachectl. tester arret et redemarrage manuel
3. Lancer un navigateur et taper localhost dans la barre d’adresse. Que s’affiche t-il et pourquoi? Verifiez vos hypotheses en modifiant légérement (‘Bonjour!’) l’index par defaut du site par défaut.
4. Créer un dossier appelé site1 dans le sous-répertoire  racine (htdocs) de Apache
5. Recopier le code ci-après  dans un fichier texte nommé index.htm sauvé dans le repertoire site1

<HTML>
<BODY>
<a href= »http://fr.wikipedia.org/wiki/marseille »>Ici Marseille</a>
</BODY>
</HTML>

Rajoutez-y le logo de Wamp en pointant sur le fichier PNG qui se trouve dans le repertoire  img de la racine

1. Tester l’URL  vers le fichier index de site1

http://localhost/site1

• Vérifiez les logs d’apache

Gestion minimale de DNS

repérer le fichier ‘DNS’ local : hosts sur windows

rajoutez y un nom de domaine italien do.it

tester l’acces à la racine de do.it

creer un just.do.it

Accept
est utilisé pour spécifier les types de media acceptés dans la réponse.
Exemple :
Accept: text/html; q=1.0, text/*; q=0.8, image/gif; q=0.6, image/jpeg; q=0.6, image/*; q=0.5, */*; q=0.1
L’asterisque « * » est utilisée pour regrouper les types de media,UK Replica offers a variety of 1:1 best Replica rolex GMT-Master II, high quality fake rolex GMT-Master-II. »*/* » indique tous les types de media et « type/* » indique tous les sous-types de ce type.
Chaque type peut être associé à un facteur de préférence noté  « q » ,  sur une échelle de 0 à 1. La valeur par défaut est 1.
Dans l’exemple, le navigateur prend en charge divers types de media texte et html en préférant le html au texte et les images de type jpeg et gif aux autres types.

Accept-Charset
est utilisé pour indiquer quels jeux de caractères sont acceptables par la réponse
Exemple :   Accept-Charset: iso-8859-5, unicode-1-1;q=0.8

La valeur particulière « * », si elle est présente dans le champ Accept-Charset inclut n’importe quel jeu de caractères (y compris  ISO-8859-1). Si aucune « * » n’est présente dans le champ Accept-Charset, alors les caractères non mentionnés de manière explicite ont une préférence à 0, excepté ISO-8859-1, qui a une préférence à 1 par défaut.

En l’absence d’entête Accept-Charset, tout jeu de caracère est acceptable par défaut.
En présence d’une entête  Accept-Charset, et si le serveur ne peut répondre conformément, alors il se peut que le serveur renvoie le code retour 406 (not acceptable) en réponse à la requête.

Accept-Encoding

permet d’indiquer que le navigateur accepte les données compressées.

Exemple :

Accept-Encoding: compress;q=0.5, gzip;q=1.0

Dans cet exemple, le navigateur prend en charge le format  gzip de préférence, mais également le format compress.

Accept-Language
restreint le jeu de langages acceptés pour la réponse
Exemple :
Accept-Language: fr, en-gb;q=0.8, en;q=0.7

signifie je préfère le français mais j’accepte également l’anglais.A language-range matches a language-tag if it exactly equals the tag, or if it exactly equals a prefix of the tag such that the first tag character following the prefix is « -« . The special range « * », if present in the Accept-Language field, matches every tag not matched by any other range present in the Accept-Language field.

Accept-Ranges

permet au serveur de spécifier le type de requête acceptable pour une ressource
Accept-Ranges: bytes

Accept-Ranges : none

Age

indique au cache la « fraîcheur  » du document, c’est une valeur exprimée en secondes.

Allow
indique les méthodes supportées par la ressource spécifiée à l’URI.
En cas de méthode non autorisée, le serveur enverra un code retour 405(Method Not Allowed).

Exemple :

Allow: GET, HEAD, PUT

Authorization
Un utilisateur qui veut s’identifier auprès d’un serveur, dans le cas d’un code retour 401 par exemple, le fait en incluant un en-tête Authorization à la requête.

Cache-Control

Le navigateur ou le serveur peuvent donner des directives à un cache.
L’en-tête Cache-Control a pour valeur une liste de directives, séparées par des virgules.

Note : L’en-tête Cache-Control n’est pas implémentée sous HTTP 1.0, la seule directive prise en charge est Pragma: no-cache.

Exemple :

Cache-Control: max-stale=3600
La ressource devra être rafraîchie au-delà de 3600 secondes soit 1 heure.
Cache-Control: max-stale=0
La ressource devra être constamment rafraîchie.

Les valeurs possibles sont :
public:La réponse HTTP peut être mise en cache par n'importe quel cache.
private:La réponse est destinée à un client unique et ne doit pas être mise en cache par un cache partagé.
no-cache:aucune mise en cache de la ressource n'est autorisée.
no-store:Empêche le stockage sur disque de la donnée.
no-transform:indique au cache qu'il ne doit pas transformer le corps du message qu'il reçoit.
max-age:âge maximum d'une ressource-exprimé en seconde.
max-stale: précise le temps de mise en cache de l'élément-exprimé en secondes.
must-revalidate:force une reconnexion au serveur avec un If-Modified-Since et doit provoquer une erreur 505 si la page a disparu.

Connection
Cet en-tête peut être envoyé par le client ou le serveur et contient une liste de noms spécifiant les options à utiliser avec la connexion actuelle.
Si une option possède des paramètres ceux-ci sont spécifiés par l'en-tête portant le même nom que l'option
Connection: keep-alive
indique que la connexion reste ouverte, on dit qu'elle est persistante.
Connection: close
indique que la connexion doit être fermée après traitement de la requête en cours.

Content-Encoding
Permet d'indiquer le type de codage du corps de la requête.
Content-Encoding: gzip

Content-Language
Permet d'indiquer la lutilisée dans le document
Exemple :
Content-Language: fr

Content-Length
Permet d'indiquer la taille du corps du document, exprimé en nombre d'octets.
Exemple :
       Content-Length: 3495

Content-Location
permet de définir un emplacement de contenu.
Exemple :
Content-Location : http://www.domain.com/Default.htm

Content-Type
permet de définir le type de contenu du message.
Exemple :
Content-Type: text/html; charset=ISO-8859-4
Parmi les types de contenu, citons : - text/plain (texte uniquement) - text/HTML (texte plus html) - multipart/mixed - multipart/alternative

Date 
Indique la date et l'heure à laquelle le message a été généré.
Exemple :
Date: Fri, 01 May 2009 20:00:31 GMT

Expires
indique la date et l'heure à partir de laquelle le message doit être considéré comme obsolète.
Exemple :
Expires: Fri, 01 May 2009 20:10:00 GMT
Les applications ne doivent pas enregistrer ces entités dans leur cache après la date spécifiée.
Pour autant, la présence d'un champ Expires ne signifie pas que la ressource originale n'a pas changé ou n'existe plus après cette date.

From
peut contenir l' adresse e-mail de l'utilisateur émetteur de la requête en respectant les spécifications définies dans la RFC 822 [9] modifiée par  RFC 1123 [8]:
Exemple :
      From: webmaster@w3.org

Host
spécifie le site et le numéro de port de la ressouce demandée.
Par défaut le port est 80 en HTTP.
Exemple :
GET /pub/WWW/ HTTP/1.1
       Host: www.w3.org
Cet en-tête est obligatoire pour toute requête HTTP.

If-Modified-Since
est utilisé avec une méthode pour la rendre conditionnelle.
Exemple :
If-Modified-Since: Sat, 29 Oct 2009 19:43:31 GMT

Si la ressource n'a pas été modifiée depuis le temps indiquée, elle ne sera pas renvoyée par le serveur. A la place, un code retour 304 (not modified)
sera retourné.
L'intérêt de cet en-tête est d'optimiser les informations en cache, en réduisant au maximum les transactions réseau.

Last-Modified

Indique la date et l'heure à laquelle le serveur pense que la ressource a été modifiée.
Exemple :
       Last-Modified: Fri, 01 May 2009 20:00:31 GMT

Location
est utilisé dans le cas de la re-direction d'une ressource.
Exemple :
Location: http://www.w3.org/pub/WWW/People.html
Le champ d'en-tête Location (réponse) renvoie la localisation exacte de la ressource identifiée par l'URI-visée de la requête. 
Pour des réponses 3xx, ce champ indique l'URL "de préférence" donnée par le serveur pour la fonction de redirection automatique.
Une seule URI absolue peut être mentionnée à la fois.

Propriétés

HTTP : Hyper Text Transfert Protocol, protocole de transfert hypertexte.

Mis au point en même temps qu’ HTML par Tim Berners Lee en 1990.
S’appuie (comme les autres protocoles du Net) sur TCP/IP.
Permet l’échange de document HYPERTEXTE entre un serveur HTTP et un client HTTP sur le World Wide Web.

Par défaut le port utilisé sur ce type de requête sera 80.

Les versions actuellement utilisées sont la 1.0 et la 1.1

Voir la RFC 2616 du W3C pour la description complète du protocole, et notamment les paragraphes REQUEST et RESPONSE.

Le protocole le plus utilisé sur le NET.

Exemple :

Quand je tape l'adresse : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil sur mon navigateur Mozilla ou bien Internet Explorer, je demande au serveur Wikipedia de transférer la page d'accueil de l'encyclopédie à mon navigateur, en utilisant le protocole HTTP.

En guise de réponse, le serveur enverra le document à ma machine et mon navigateur l'affichera sous forme de page au format HTML.

Les phases du dialogue HTTP

Le dialogue HTTP consiste en un échange de messages entre le client et le serveur, il s’effectue en plusieurs phases.

Coté client :

1. Ouverture de la connexion vers le serveur HTTP, et formulation de la requête HTTP
2. Envoi d’une entête précisant les caractéristiques du demandeur

Coté serveur :

1. Traitement de la requête,
2. Précision des caractéristiques du serveur et de l’information demandée
3. Envoi de la réponse HTTP, en général il s’agit du document

Construction d’une requête HTTP

Une requête HTTP est une séquence de lignes envoyées au serveur par le client. Elle peut comprendre jusqu’à trois éléments :

1. une ligne de requête elle-même composée de :
   • la méthode à utiliser : elle indique le type de requête.
   • l’adresse de la ressource demandée : l’URL
   • la version du protocole utilisée par le client : HTTP 1.0 ou HTTP 1.1
2. une ou plusieurs lignes d’en-tête : facultatives, elles peuvent préciser les caractéristiques du navigateur, le type de contenu, l’adresse mel du client …
3. une ou plusieurs lignes constituant le corps de la requête : facultatives également, elles doivent être séparées des lignes précédentes par une ligne vide (un retour chariot+1ligne blanche). Elles vont contenir par exemple les données d’un formulaire, dans le cas de la méthode POST.

En résumé, une requête HTTP aura la forme suivante , sachant que les caractères rn insèrent un retour chariot et saut de ligne.

METHODE URL VERSION rn
EN-TETE 1 : Valeur rn
EN-TETE 2: Valeur rn

EN-TETE N: Valeur rn

CORPS DE LA REQUETE

Les METHODES

GET et PUT sont les plus utilisées.

Les méthodes prises en charge par HTTP 1.0 sont les suivantes :

• GET : demande de ressource (document simple ou programme CGI ou Script Server qui renvoie des informations).

• HEAD : demande d’information sur le document : peut servir pour le cache (test de la date), pour évaluer le type et la taille du document, etc.

• POST : envoi de données , via un formulaire en général.

Les paramètres sont transmis dans le corps de la requête, en général au format URL-encoded (param1=val&param2=val2)

• PUT : stocke un document sur le serveur

• DELETE : supprime un document du serveur (peu ou pas autorisé)

• TRACE : demande de débogage (trace des serveurs proxy utilisés)

• CONNECT : pour les connexions sécurisées HTTPS

Un protocole est un mode opératoire STANDARD permettant à des machines identifiées par leur adresse de communiquer à travers des réseaux informatiques et de télécommunications.

Il se présente comme un ensemble de règles, destinées à structurer le dialogue, formater les messages, séquencer les opérations, coder l’information, régler la transmission, tout comme un langage permet à des personnes de communiquer à l’aide de mots et de règles de grammaires.

Un protocole est exécuté par un programme (logiciel de communication) installé sur les équipements qui communiquent.

Chaque protocole est décrit de manière détaillée dans une RFC (Requests For Comment) au W3C (source des standards du NET) .
Le protocole le plus utilisé sur le Net est HTTP, le protocole de communication pour le transfert hypertexte.

Il est décrit dans le RFC 2616. Vous l’utilisez chaque fois que vous tapez une adresse du type « HTTP://www…. » sur la toile.
Autre protocole communément utilisé : SMTP, pour envoyer et recevoir des messages à travers le Net.